670 ans plus tard les "bourgeois de la CCTS" ont remplacé les "bourgeois de Calais"
C'est donc le 3 janvier 2017 que la grande Communauté de Communes Loches Sud Touraine a été intronisée.
Cette nouvelle entité administrative et politique continue à
poser questionnement.
La répartition des postes de vice-présidences fait apparaître
outre une absence totale de parité hommes/femmes mais également une domination
de l’ancienne Communauté de Communes Loches Développement qui dispose
pratiquement de la majorité (7 vice-présidences sur 15 ! plus 1 poste de
délégués).
Gérard HENAULT le nouveau président (ancien Président de la
CCTS) me fait penser à EUSTACHE DE SAINT PIERRE qui, avec 5 autres bourgeois de
Calais, était venu la corde au cou et les pieds nus remettre au roi
d’Angleterre ÉDOUARD III les clés de la ville de Calais. En effet suite à un
très long siège la ville de Calais fut contrainte en 1347 de se rendre au roi
d’Angleterre Édouard III.
Aujourd’hui après de longues discussions la CCTS a ...
... capitulé
devant les exigences de Loches Développement. Bien évidemment ce propos sera
démenti mais quand on constate le poids énorme que Loches Développement
représente au sein de ce qu'il est convenu d'appeler la "gouvernance" – ne serait-ce que par la
seule présence du nom de Loches dans le patronyme de cette grande Communauté de
Communes – cela en dit long sur les pressions qui ont pu s’exercer.
Par l’entêtement de ses
responsables qui ne se sont pas battus pour une fusion à 2 entre la CCTS et le
Grand Ligueillois – (mais Gérard
HENAULT craignait-il de ne pas être élu président et/ou était-ce Michel
GUIGNAUDEAU qui avait des angoisses ? et le Maire de Descartes Jacques
BARBIER a probablement, pour ce qui le concerne, négocié une place de vice-président) – nous nous
trouvons spolié financièrement.
Ainsi donc à une moindre échelle 670 ans plus tard nous
assistons à la reddition sans condition non pas de Calais mais de la CCTS.
En l’occurrence ce ne
sont pas les clés de la ville mais la clé du coffre-fort de la CCTS que Gérard
Hénault est venu remettre à la nouvelle entité qu’est la grande Communauté de
Communes Loches Sud Touraine.
Et puis très franchement quand je regarde les noms des
représentants de l’ancienne CCTS qui sont aux postes de vice-président, j’ai la
faiblesse de croire que ce ne sont pas les compétences qui ont prévalu pour
orienter le choix mais plutôt une magouille de politique politicienne de bas
étage.
Yanick Antigny dit
RépondreSupprimerJe partage les propos et points de vue de Monsieur Petit
Je trouve maladroit de mettre Loches dans la dénomination cela veut dire Loches, Moi et les autres
Pauvre de nous
Notre chère commune de Descartes ne vaudra plus rien dans peu de temps mais à qui la faute?
Il y a 50 ans La haye Descartes et Balesmes ont connu une fusion pour un essor de la Ville de Descartes- Aujourdhui cette fusion n'apportera rien à la cité natale du philosophe
Merci de votre commentaire. A la demande d'un journaliste de "la Renaissance Lochoise" je vais m'exprimer sur cette fusion qui s'est faite à une époque où je ne résidais pas à Descartes comme j'ai eu l'occasion de vous le dire lors de la sortie de votre livre polémiquant avec moi.
SupprimerCeci étant dit je publie votre commentaire car il n'est pas anonyme comme certains que je reçois et ne publierai pas car eux sont anonymes.
Monsieur Petit, avec tout le respect que je vous dois je tiens a vous signaler que le livre qui nous a opposé ne faisait en aucun cas référence à la fusion de Balesmes et la Haye Descartes mais un roman faisant état de la fusion de deux communes fictives Vaux sur Creuse et Brie sur creuse pour porter la dénomination de Brivaux sur Creuse
SupprimerJe n'étais pas sans ignorer que lors de la fusion de Balesmes et de la Haye Descartes vous étiez personnellement absent
Vous m'avez dit avoir tenu des propos mensongers mais je tiens à préciser que ce livre est un roman, une fiction où l'on peut s'exprimer comme bon semble sans tenir de propos diffamatoires ou injurieux
Cher Monsieur Antigny je publie bien volontiers votre message.
SupprimerJe sais combien vous êtes attentif aux éventuelles fautes d’orthographe et je vous en remercie.
Cependant vous me permettrez de vous faire deux remarques concernant votre phrase :
« Je n'étais pas sans ignorer que lors de la fusion de Balesmes et de la Haye Descartes vous étiez personnellement absent. … »
1 –Je n’étais pas habitant de Descartes en 1967 et donc je n’étais pas personnellement absent à cette date,
2 – L’expression « Je n'étais pas sans ignorer » signifie en bon français que vous ignoriez.
Vous auriez dû écrire : Je n’étais pas sans savoir ce qui toujours en bon français signifie que vous saviez.
Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour ces remarques que je souhaite courtoises.