mercredi 28 janvier 2015

A propos des Kurdes

Texte adressé le 27 août 2013 à La Nouvelle République pour publication dans la Rubrique Dialogues mais …………..qui n’a jamais été publié.


Depuis quelques jours ils sont nombreux celles et ceux qui portent aux nues les Kurdes : « combattants vaillants qu’il faut soutenir, rempart contre les djihadiste de l’E I. »

Enfin est reconnue la juste lutte des Kurdes pour leur indépendance, mais il aura fallu combien d’années pour prendre conscience que ce Peuple, comme d’autres de par le monde, a droit à la reconnaissance en tant que tel ; et pour combien de temps ?

Je me souviens avoir signé dans ma jeunesse il y a 60 ans un Appel en faveur de la création d’un État Kurde, Libre, Indépendant et Démocratique. J’avais 14 ans à l’époque, et il n’y avait pas foule pour soutenir cette idée.

Attentats terroristes de Paris :

Les Russes de France solidaires et attristés par les morts et certains silences.

Le Conseil de coordination du Forum des Russes de France présente ses condoléances les plus attristées aux familles des victimes des actes terroristes qui ont frappé la France en ce mois de janvier 2015.
Le Forum des Russes de France réaffirme son attachement aux valeurs républicaines, notamment à la liberté de parole, la tolérance et le dialogue, la laïcité, le respect de l'autre et la solidarité, ce qui exclut le terrorisme et la violence idéologique.

Une fois encore à propos des permanences médicales des dimanches et jours fériés

Il semble bien que depuis le 1er janvier 2015 les permanences médicales des dimanches et jours fériés soient assurées de manière …disons restreintes. C’est le moins que l’on puisse dire puisque le patient qui doit faire appel à un médecin est désormais dans l’obligation de passer par le 15. Ce qui n’est pas nouveau, mais par contre ce qui est nouveau c’est le fait que tout soit centralisé sur Loches pour ce qui concerne le Sud Touraine.
Cela me parait anormal et dangereux pour les patients : les vraies urgences cela existe et en général … par essence même elles ne peuvent pas attendre.