Cette mobilisation qui intervient après l’annonce par l’armée israélienne de la découverte des corps de six otages dans la bande de Gaza vise à faire pression sur le Gouvernement afin qu’il signe un accord de cessez le feu à Gaza |
Dès 6 heures, (4 heures à Paris), « toute l’économie israélienne sera en grève générale », a lancé dimanche 1er septembre le chef de la puissante centrale syndicale israélienne, ARNON Bar-David, car « nous devons faire cesser cet abandon des otages ».
Le président de la Histadrout a également déclaré dans un communiqué : « J’en suis arrivé à la conclusion que seule notre intervention peut ébranler ceux qui ont besoin d’être ébranlés. « Un accord ne progresse pas en raison de considérations politiques et c’est inacceptable ».
« À 8 heures, l’aéroport sera fermé, les décollages et les atterrissages cesseront », a précisé la Histadrout dans un communiqué.
Une autoroute bloquée dimanche
Les maires de Tel Aviv et de la ville voisine de Givatayim ont annoncé qu’ils feraient grève lundi pour exiger le retour des otages, et d’autres devraient suivre, souligne The Guardian.
Dimanche, des dizaines de milliers d’Israéliens ont manifesté dans plusieurs villes pour réclamer un accord sur la libération des otages.
À Tel-Aviv, des protestataires ont bloqué une autoroute qui traverse le cœur de la ville.
Cette mobilisation intervient après l’annonce dimanche par l’armée israélienne de la découverte des corps de six otages dans la bande de Gaza.
« Les corps des otages Carmel Gat, Eden Yerushalmi, Hersh Goldberg-Polin, Alexander Lobanov, Almog Sarusi et Ori Danino » ont été retrouvés samedi dans un « tunnel dans la zone de Rafah », dans le sud de la bande de Gaza, a indiqué l’armée, suscitant stupeur et colère en Israël
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