Monsieur Barbier : les chiffres et ... le bonnet d'âne

Dans le journal de la commune d’avril 2010 (n°38) Monsieur le Maire de Descartes – Jacques Barbier répondant à la Tribune de son opposition « contestait – à tort – les pourcentages d’augmentation des tarifs de location des salles communales ».

Dans un article publié le 1er février 2016 sur son Blog (les FÉDÉRÉS de Descartes) Monsieur Françis Pelletier, qui a vérifié les comptes, écrit à juste titre :

les chiffres avancés par l’opposition sont véritables

et leurs calculs ont été menés correctement, sans erreur.

Bien évidemment pour se justifier Monsieur Barbier ne comparait pas les mêmes choses :

-  l’opposition se référait à la période 2001-2010,

-  et lui se référait à la période 2008-2009.

Il se refusait à admettre une augmentation importante des dits tarifs mais il niait aussi l’augmentation de 37% des indemnités (Maire et Adjoints).

Et d’en tirer une conclusion «  … l’opposition doit encore redoubler quelques années … ! ».

A l’époque l’opposition n’avait pas voulu entamer une querelle sur les chiffres, ni même contester le fait que Jacques Barbier se permettait d’insérer dans le texte de ses opposants le dessin d’un enfant porteur d’un bonnet d’âne.

C’était une erreur de l’opposition que de ne pas faire respecter ses droits. Mais comme toujours dans ces cas-là l’accusation de polémique eut été avancée.

Aujourd’hui donc le bonnet d’âne doit être porté par le Maire, et il le mérite bien lui :

-   qui confond allègrement taux communaux et bases,

-   qui ne sait pas calculer les pourcentages d’augmentation des impôts,

- qui prétend être un bon gestionnaire et assure présenter un budget d’investissement « important chaque année … », alors qu’en vérité les montants des investissements ne sont pas réalisés dans leur totalité et reportés d’une année sur l’autre.

De la poudre aux yeux qui masque en réalité une incapacité notoire aussi bien à gérer qu'à présenter un budget sincère.

Jacques Barbier raconte en permanence des mensonges sur tout.

Je lui conseille de méditer cette phrase 

du Président des USA Abraham Lincoln :

« On peut mentir à quelques-uns tout le temps,

ou à tout le monde un moment.

On ne peut pas mentir à tout le monde

tout le temps. »

Je tiens à disposition des lecteurs la photocopie du

« Flash Info » n°38 (journal de la commune de Descartes).