Le Front national
et plusieurs cadres du parti Les
Républicains se sont saisis de la crise politique en Italie pour dénoncer à
nouveau l’Europe et la proposition du Président E. MACRON de vouloir introduire
une dose de proportionnelle lors des prochaines élections législatives.
Une fois de plus droite et extrême droite se plaisent à
mélanger les problèmes.
C’est
la faute à l’Europe :
Le président italien Sergio MATTARELLA a refusé de nommer
un ministre anti-européen.
Il a eu raison, et contrairement à ce qu’affirme le Front
national ce n’est « ni un coup
d’état, ni un braquage du peuple italien par des institutions illégitimes ».