Cette
déclaration sonne comme une évidence.
Comme lors de la candidature de Ségolène ROYAL en 2007 - mais pour des raisons différentes (machisme entre autres) - certains membres du parti socialiste n’acceptent pas le choix démocratique fait lors de la « primaire de la gauche ».
Lorsque l'on est membre d'un parti politique (personnellement je n'en suis plus) l'on se doit de respecter les règles qui y font loi.
Cette attitude est non seulement condamnable mais elle démontre que des responsables se refusent à mesurer les risques pris
Certains m’objecteront que les "frondeurs" ont eux-mêmes pris des positions en désaccord avec les propositions du Gouvernement.
Mais faudrait-il donc admettre que les députés soient, dès le lendemain de leur élection, devenus des "godillots" comme du temps de la Présidence de Charles de GAULLE ?
Dans l’entretien accordé au Parisien
dimanche du 26 février, Najat VALLAUD-BELKACEM déclare : « il y a une offre concurrentielle…permettant à ceux qui n’ont pas
de sympathie pour le candidat du parti socialiste de se dédouaner … ».
Ainsi en est-il dans notre département de l'ancien maire de Montlouis et actuel sénateur que j'ai personnellement connu comme faisant partie en son temps de la mouvance de l'aile gauche du parti socialiste. Mais le temps est passé et il oublie facilement son propre passé.
Ainsi en est-il dans notre département de l'ancien maire de Montlouis et actuel sénateur que j'ai personnellement connu comme faisant partie en son temps de la mouvance de l'aile gauche du parti socialiste. Mais le temps est passé et il oublie facilement son propre passé.